Visiblement cette décision est un ouf de soulagement pour les parents et les étudiants condamnés auparavant à payer des sommes allant de 10 à 50 USD pour l’achat des syllabus dit » syllabar » en langage estudiantin congolais.
Un communiqué du ministère qui suspend cette pratique concerne également tout frais dit » droit d’auteur ». En outre, tous les cours seront désormais disponibles et gratuits pour les étudiants en version électronique, à déposer aux sections.
Mais du côté du corps enseignant, il n’y a eu aucune réaction au sujet.
Muhindo Nzangi, ministre de l’enseignement supérieur et universitaire, prend une décision très encourageante et qui sauvera le cursus de plusieurs étudiants congolais dont certains reprennent ou échouent à cause du non achat d’un syllabus dit chez les enseignants » support ».
Du reste, il faut veiller à son applicabilité intégrale, puisque pareille mesure peut favoriser la corruption extrême.
Jonas KALOMBO