Les assemblées annuelles du African Development Bank Group se sont terminées vendredi 25 juin à Abidjan avec des demandes de jabs, de prêts et d’un nouvel ordre mondial.
Dans son émouvante allocution de clôture, Ofori-Atta, le ministre ghanéen des Finances a appelé les dirigeants mondiaux à combler le fossé surprenant dans la reprise économique et le financement des soins de santé, et à augmenter le flux de vaccins dont le besoin se fait cruellement d’atteindre les coins les plus touchés du continent.
« L’Afrique ne peut pas vraiment s’élever si une nouvelle architecture financière mondiale n’est pas conçue », a-t-il déclaré.
La conférence a par ailleurs fait des appels à de nouveaux capitaux, à de nouveaux DTS, à l’annulation de la dette, à l’annulation de la dette, à l’amélioration du crédit et à la restructuration de la dette alarmante de 845 milliards de dollars de l’Afrique.
Tenue virtuellement pour la deuxième année consécutive, la réunion annuelle du plus grand bailleur de fonds du continent en matière d’infrastructures, avec des actifs d’environ 60 milliards de dollars, a lancé un appel clair aux dirigeants mondiaux pour obtenir des prêts afin de rembourser les dettes naissantes du continent et pour une refonte significative du système financier mondial afin de le rendre plus équitable et inclusif.
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